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Et si j’arrête mes médicaments… ca fait quoi ?

Et bien ca fait mal !

Oui, j’ai arrêté mon traitement une bonne dizaine de jours pour voir un peu comment réagissait mon organisme afin de mieux comprendre et appréhender mes crises inflammatoires. Il est écrit sur la notice que que l’inflammation revient deux jours après l’arrêt du traitement, et qu’il suffit pour la stopper de reprendre le traitement normalement selon les doses prescrites par le médecin. C’est vrai aussi !

J’ai donc suspendu la prise de médicaments à un moment ou visiblement je devais me situer entre deux poussées inflammatoires. J’avais déjà réduit le nombre de prises en passant de 3 par jour à une seule prise, puis 1 prise un jour sur deux. Tout allait à peu près bien si ce n’est que les atteintes palmo-plantaires se réveillaient un peu. Comme je le disais dans un précédent post, j’avais constaté que le traitement agissait aussi sur mes lésions cutanées.

Puis inévitablement, la poussée inflammatoire surgit. D’abord des raideurs au niveau de la nuque et des épaules, puis ces fameses douleurs dans les coudes et les poignets. N’étant pas masochiste je décide alors j reprendre le traitement à une prise par jour. Les lésions cutanées apparentes se stabilisent, le mal dans les coudes, poignets et les raideurs disparaissent presque comme par magie. Moralité je peux suspendre mon traitement lorsque je suis entre deux crise et le reprendre dès les premiers symptômes.

Mais pourquoi arrêter le traitement s’il fonctionne ? Je crois que j’ai peur de developper des résistances à cette première molécule qui constitue le premier degré de soin et de prise en charge de mes maux. De plus le rhumatologue m’avait dit au départ de voir por réduire et idealement arrêter de temps en temps. Disciplinée j’applique… dans mon intérêt biensur !!

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